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Once of the worst examples of Hong Kong cinema I've ever witnessed. It apparently was marketed as a Cantonese take on American History X, but that is not the case here. This is just a sloppy and poorly executed crime drama.
Rated 1/5 Stars •
Rated 1 out of 5 stars
02/01/23
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Marketed as a homage film to American History X which starred Ed Norton, Hong Kong History X is nowhere as controversial. Rather the connection is tenuous and missing from the storyline are the racial overtones, focus on the main character's development and why he decides to go straight, etc.
Still, Hong Kong History X is a decent gangster film reminiscent of A Better Tomorrow with Chow Yun Fat. In fact, I'd say some of the values portrayed in the film such as "giving face," getting revenge, respect to parents and family, etc. mimic those found in older Chinese gangster films from the 1980's and early 90's.
Now as for acting, Anthony Wong looked terrible and out of shape while his younger brother looked way too young for his role. (Tried to find his name but apparently he's not important enough to be credited in the US.) The bright spot however were the actresses which were attractive and performed their roles well (and even received credit for their roles in IMDB). Too bad this film is 10 years old since I liked YoYo Mung much better than Zhang Ziyi. ;)
Nevertheless, this film is recommended for rental if you like Chinese gangster movies. However, don't expect a high quality production or thought provoking storyline. Films like The Killer or A Better Tomorrow are the kings of this genre and Hong Kong History X is a decent attempt but won't come as close in quality or in entertainment factor.
Rated 3/5 Stars •
Rated 3 out of 5 stars
02/08/23
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A la fois scénariste, réalisateur et producteur, Kenneth Lau aime visiblement avoir les rênes en main. Et vlà le résultatâ¦En voici un rapport assez circonstancié afin de vous éviter cet achat. Car ça ne peut même pas s'apprécier au second degrés tellement c'est mou !
Quelques notes de pianos, un mur graffité en bordure de mer, des personnages apparaissent, disparaissent et réapparaissent à différents endroits. On est assez séduit par cette petite ambiance sereine qui donne envie de rejoindre ce beau monde pour une petite balade. Mais dés le dernier nom du casting envolé, sans aucune transition, on se retrouve nez à nez avec Wayne LAI Yiu-Cheung qui règle des comptes (et cabotine grave) dans la pure tradition du film de triades post-"Young and dangerous". Rapport avec le titre US ? Et bien non ce film ne traite pas du racisme à hong-kong puisque, comme tout le monde le sait, ce problème nâexiste pas là -bas. En revanche on récupère une relation difficile entre deux frères. Ces derniers sont amoureux de la même jeune fille (Yoyo MONG Ka-Wai) qui est amoureuse seulement (pas sympa) de lâaîné, Anthony WONG Chau-Sang, puisque lui est une triade reconnue contrairement à lâ « autre » qui est décidément trop sérieux pour intéresser. En effet il est seulement vendeur : la honte ! Comme dâhabe : un sujet certes banal, mais propice à un bon petit film tendu, se transforme en mauvais petit film @!#$. Pourtant, "Hong kong history X", avec son coté jusquâau-boutiste dans la non subtilité aurait pu intéresser si il nâétait justement aussi ennuyeux. Tellement regrettable quand on découvre à quel point Kenneth Lau nâa honte de rien ! Exemple : le cadet veut rentrer dans les triades afin de plaire à Yo Yo (pas mal déjà ). Pour cela il passe un entretien avec Wayne Lai (triade influente) qui lui explique quâun petit test ne serait pas de trop. Alors le cadet accepte (plutôt facilement !) de droguer sa meilleure amie afin quâelle se laisse faire dans une tournante qui nous est malheureusement épargnée (quand je vous dis que ce film aurait pu être au moins un bon CatIII). Puis regrettant son acte, il lâattend à la sortie avec un cadeau (véridique !). Elle arrive, pleine de sang lui coulant le long des jambes, et là , déconcertant le spectateur qui nâen finit plus dâêtre surpris, elle refuse le cadeau ! En effet elle trouve ce geste un peu déplacé après ce quâelle a subi. Elle va même jusquâà balancer en lâair le colis pourtant ouvert. Et, âMA-GNI-FI-QUE-, comme le cadeau était protégé par des morceaux de polystyrène, ils se mettent tous à tomber au ralenti sous une musique mélancoliqueâ¦Alors bien sûr, il réalise quâil a abusé et se saoule dans les rues. Le pauvre. Scène qui rappelle dâailleurs la prise de conscience de Louis Koo dans le très divertissant et inégalé Rules of the Game. Mais nâallez pas croire que nous assistons à un sous-Rules of the Game ! On est plutôt dans un sous-avatar dâun sous-Rules of the Game. Câest grave. Et attention ! Scène (involontairement) hilarante : A sa sortie de prison (pas le temps de raconter), le big boss Anthony (mafieux se promenant tout de même en chemise hawaiienne et couvert dâun chapeau marin), balance aux triades qui lâattendent, saisissant par la même occasion le spectateur: « I believe in Buddha ; I wonât deal with triads business anymore. ». Ouf : la morale est sauve ! Les dialogues repoussent les limites du ridicule surtout quand Anthony explique aux triades le pourquoi du comment: « the world is really pretty. Look, a tree, a piece of cloud, ain and windâ¦oh listen how beautiful the wind isâ¦thatâs why I will never deal again with business except the business of the buddhist association. My new boss is Sakyamuni Buddha. ». Câest dâailleurs grâce à ces dialogues qui battent des records quâon tient jusquâà la fin. Car quand son frère apprend la nouvelle, il soupçonne la raison du virage à 180 degrés pris par Anthony. Je cite son hypothèse: « Maybe, he was flirted by some gays and got insane ». Et quoi de plus pathétique quand cette pléiade dâacteurs et dâactrices tentent de nous convaincre quâils pleurent, quâils sont bourrés, quâils sâéclatentâ¦alors que câest pas crédible pour un sous ? Seule Helena LAW Lan nous fait du Law Lan (ici la maman des fréros). Jâoubliais lâaction. Câest tout simplement mauvais dans lâensemble mais le final propose cependant un pauvre gunfight, une pauvre explosion, et certainement la pire figure Wooienne de tous les temps ! Notons SPOILER que Wayne Lai (responsable de viols et meurtres de pauvres innocentes; dans le film) sâen sort haut la main à la fin et que ceux qui rejoignaient le droit chemin nây feront que quelques pas FIN SPOILER. Quand je vous dis quâon tenait un bon CatIII ! Åuvre certes morale à travers les mots dâAnthony mais au dénouement qui sera certainement jugé peu moral quand même du point de vue de bcp de gens. Car les paroles c'est bien mais rester en vie c'est mieux pour énormément de jeunes je pense. Ou alors une fois un pied dans les triades il faut aller jusqu'au bout...Câest aussi ça la génération X ! Et dâailleurs, pour tous les nostalgiques de cette génération (cf interview du casting de Gen X Cops dans le making of hilarant du Dvd; bonus A VOIR DâURGENCE pour toute personne étant passée à coté ! ! !), nous en apprenons encore plus sur ce phénomène de société si vite oublié et nous profitons, cerise sur le gâteau, des meilleurs tubes canto pop que cette génération nous a heureusement laissés pour se souvenir. Le plus intriguant est, de la même façon quâil y a eu un Gen Y Cops, et bien croyez moi si vous le voulez, mais est sorti un Hong Kong History Y peu de temps après malgré les scores minables du premier (comment une suite a t elle pu sâavérer envisageable aussi bien dâun point de vue cinématographique que commercial ? !). Les générations sâenchaînaient et au milieu de tout ça une phrase reste gravée : « no matter how high the ball is kicked, itâll fall one day », dixit la génération X. Dâaprès la rumeur, la génération Y nâétait pas dâaccord. PS : ne ratez pas cette pauvre scène où Yo Yo Mung ne veut pas quâAnthony découvre quâelle est devenue vendeuse ambulante, rappelant Ng Man Tat tentant de fuir Andy Lau dans le cultissime A Moment of Romance. PPS : si vous avez des infos concernant les générations X ou Y merci de m'écrire.
Rated 1/5 Stars •
Rated 1 out of 5 stars
01/13/23
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