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Two stars for the humour. Otherwise it's too hard for sitting and watching people, who don't move nor say anything.
Rated 2/5 Stars •
Rated 2 out of 5 stars
02/18/23
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I loved this film. You have to be patient, which is not an easy accomplishment in our kinetic age. But those who can exercise it will be well-rewarded by a subtle, beautiful, and funny cinematic experience.
Rated 4/5 Stars •
Rated 4 out of 5 stars
02/27/23
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Chinese masterpiece like Jarmusch on codeine
Rated 4/5 Stars •
Rated 4 out of 5 stars
02/13/23
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Two stars for the humour. Otherwise it's too hard for sitting and watching people, who don't move nor say anything.
Rated 2/5 Stars •
Rated 2 out of 5 stars
02/22/23
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Tremendamente aburrida a pesar de que me gustó la fotografÃÂa. Eso si... opino de la parte de la pelÃÂcula que no me dormÃÂ. En medio del festival de cine nos sirvió a varios de los espectadores para ponernos al dÃÂa con las horas de sueño para seguir con el raid cinematográfico...
Rated 1/5 Stars •
Rated 1 out of 5 stars
02/03/23
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Le vide absolu est en vogue ! Le "Somewhere" hollywoodien de Sofia Coppola, qui ne mène nulle part, n'est sà (C)parà (C) de ce "Han jia" chinois que par un Ocà (C)an plus là (C)thargique que rà (C)ellement Pacifique...
"Winter Vacation" conte àlongueur de pellicule les rares dà (C)ambulations d'un groupe d'ados dà (C)soeuvrà (C)s perdus dans un village paumà (C) du nord de la Chine, àla fin de leurs vacances hivernales. Un milliard, les Chinois ? Dà (C)trompez-vous ! Ici, l'oeil attentif ne rencontre que quelques pà (C)kins à (C)garà (C)s au coin des rues, qui retombent invariablement les uns sur les autres. Summum du genre : un marchà (C), où une seule cliente (qui nous prend le chou, dans tous les sens du terme) erre au milieu des à (C)tals clonà (C)s des 5 ou 6 malheureux vendeurs congelà (C)s sur place.
"Des adolescents et des enfants qui n'ont rien d'autre àfaire que de chercher àtromper l'ennuit. Rien ne se passe jamais dans cette morne contrà (C)e. Soudain, un vent de panique se lève et prà (C)cipite leurs destins", dit doctement le synopsis. Hein, "un vent de panique" ?!? Où ça ? Rien vu de tel, àmoins que le fait de s'affaler dans son fauteuil confine àde la folie pure.
D'abord intriguà (C) par l'apparente catalepsie dans laquelle semblent plongà (C)s les comà (C)diens comme le cadreur du film, le spectateur se sent rapidement saisi par un rire nerveux, se demandant constamment si c'est du lard ou du cochon chinois. Chez le rà (C)alisateur Li Hongki, peintre et poète de son à (C)tat à (C)galement, l'essayage d'un bonnet tricotà (C) main semble l'à (C)quivalent d'une trà (C)pidante scène d'action d'un blockbuster hollywoodien : le digne objet passe de main en main, examinà (C) sous toutes les coutures d'un air expert et interloquà (C) àla fois. Qu'on se rassure, le reste du film n'atteint plus jamais ensuite ce seuil de violence psychologique intolà (C)rable : la plupart des autres sà (C)quences mettent en vedette des canapà (C)s plus ou moins fatiguà (C)s ou s'asseoient des personnages non moins usà (C)s, dont un grand-père visiblement enlisà (C) sur place comme dans des sables mouvants. Ces canapà (C)s sont de tous les plans, en intà (C)rieur comme dehors, malgrà (C) les chutes de neige dont les personnages ne se sont sans doute pas aperçu. En cuir, en tissu, on ne voit qu'eux, et pour cause, puisque la camà (C)ra paraà (R)t en être tombà (C) amoureuse : mises bout àbout, ces sà (C)quences de canapà (C) en plan fixe (et silencieux, cela va sans dire) doivent approcher le tiers du film.
Pas un seul mouvement de camà (C)ra ne vient perturber le spectateur. Jamais. Les personnages non plus, la plupart du temps plantà (C)s sur place, comme paralysà (C)s, sauf lorsque l'un d'entre eux administre des baffes mà (C)caniques que sa victime encaisse sans rà (C)ellement broncher. Quelques plans rà (C)guliers sur une horloge confirme que le temps s'est sans doute arrêtà (C) aussi : la grande aiguille n'avance pas plus vite que les baguettes qui gratouillent consciencieusement les bols de riz dans une sà (C)quence indigeste de plus. Côtà (C) bande son, alors qu'un silence intà (C)gral baigne àl'à (C)cran, un fracas pyrotechnique s'emballe parfois hors champ, sans explication, accompagnà (C) de temps àautre d'une sonnerie rà (C)pà (C)titive ou d'une sirène interminable qu'on exploserait bien. "Pourquoi le ciel est toujours vide ?" lâche soudain un des ados dans un à (C)clair de lucidità (C), enchaà (R)nant avec un autre aphorisme du même tonneau : "On dirait que la vie n'en finit pas..." Tu m'à (C)tonnes...
Rated 1/5 Stars •
Rated 1 out of 5 stars
02/02/23
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